D’abord, il y eut un roi, d’abord il y eut une reine, il y eut de l’amour et bien vite une enfant. Mais l’histoire dit qu’aucun bonheur n’est parfait. Un jour, la reine meurt. Les conseillers exigent que le roi se remarie et, tombant amoureux d’un portrait, voilà qu’il demande sa fille en mariage. Après avoir vainement tenté d’échapper à son père en lui lançant quatre défis, l’infante n’aura plus qu’à fuir, cachée sous une peau d’âne.

«L’histoire, tout le monde la connaît. Moi ce qui me plaît chez Peau d’âne, c’est surtout ce qui se passe sous la peau, c’est le symbole énorme de cette peau dans laquelle elle entre belle enfant en fuite, dans laquelle elle devient solitaire et crasseuse et dont elle sort prête à aimer. Voilà ce que j’ai envie de raconter.» Estelle Savasta

Seule dans ma peau d’âne est l’histoire d’une fille qui apprend à dire «Je» et à faire taire les voix qui veulent raconter à sa place. C’est l’histoire d’une fille qui grandit et cherche seule comment tenir droite dans ses chaussettes. C’est une lumineuse histoire sans prince.

Contact

Emmanuelle Vouillamoz

Administration du Petit Théâtre

021 323 62 13

Générique

Texte*

Estelle Savasta

Mise en scène

Sophie Gardaz et Michel Toman

Jeu

Frank Arnaudon, Isabelle Bosson, Dominique Tille et Sara Uslu

Scénographie et costumes

Jean-Luc Taillefert

Lumière

Estelle Becker

Chorégraphie

Darren Ross

Chants et musique

Alexis Gfeller

Création sonore

Salvatore Orlando

Coiffures

Katrine Zingg

Maquillage

Sonia Geneux

Couture

Letizia Compitiello

Construction décor

Jean-Marie Mathey-Le Ratelier et les Ateliers du Petit Théâtre, sous la direction de Philippe Botteau

Peinture

Fanny Courvoisier, assistée de Haizea Bilbao Caparros

Régie plateau

Léo Bachmann

Régie son et lumière

Sophia Meyer

Administration Cie Face Public

Laurence Krieger-Gabor

Soutiens

Ville de Lausanne, Etat de Vaud, Loterie Romande, Fondation Ernst Göhner, Fondation Jan Michalski pour l’écriture et la littérature, Migros Pourcent Culturel, Fondation Philanthropique Famille Sandoz, Centre Patronal, SSA, La Semeuse *Le texte est publié aux Éditions Lansman